La condamnation des violences policières sont devenues la raison principale de la lutte des gilets jaunes, un piège tendu par le pouvoir politique dans lequel sont tombés les enfants du marxisme et de l’anarchie qui s’affrontent au sein de ce mouvement.
Le débat ne fait que commencer
La partie du peuple français qui a participé et soutenu le combat des gilets jaunes depuis le 17 novembre 2018 s’est mis sur le côté et observe. Elle a constaté la victoire provisoire des enfants du marxisme qui se sont appropriés le mouvement des gilets jaunes à des fins politiques, imposant comme revendication principale le RIC, outil magique pouvant résoudre tous les blocages du vieux monde jusqu’à abattre le capitalisme.
Puisque le débat était définitivement terminé, chacun est retourné chez lui en attendant la suite.
Les médias et experts économiques assénant, pour ceux qui hésitaient encore, que jamais depuis longtemps le pouvoir politique n’avait autant cédé à ceux qui étaient descendus dans la rue. Et, dés janvier, ces médias ont annoncé la fin du mouvement des gilets jaunes constant malheureusement la diminution progressive du nombre de participants aux manifestations.
Les enfants du marxisme se trouvant seuls dans le combat n’ont eu d’autre recours que d’utiliser leur arme habituelle, défendre les grévistes sanctionnés ou licenciés dans les conflits au sein des entreprises et pour les gilets jaunes, les nombreux blessés occasionnés par les violences policières oubliant au passage les nombreux blessés au sein des forces de l’ordre.
La Macronie alimente régulièrement le feu qui couve par la signature d’un accord international ou par la mort inacceptable d’un jeune, au matin de la nuit de la musique à Nantes. Et la boucle est bouclée, quelques milliers d’enfants du marxisme manifestent en attendant le « grand soir » et le monde, se meure chaque jour un peu plus, détruit par un capitalisme suicidaire que plus personne n’arrive à raisonner.
Chacun a compris que notre avenir ne réside plus désormais dans le combat entre marxisme et capitalisme. L’unique solution réside dans le retour progressif vers la nature, le respect de l’individu, une société de partage qui produit juste ce dont elle a besoin et une autorité locale au diapason de la population.
Chacun aura compris que ces valeurs on les retrouve au sein des enfants de l’anarchie, proposant une société non violente, écologique et accordant à l’être humain la place qu’il lui revient. L’Europe est au niveau mondial le berceau de cette réflexion aboutie des enfants de l’anarchisme. Ce qui nous fait dire : le débat ne fait que commencer tout est à inventer.