Les dirigeants du Qatar feraient bien de s’inquiéter, encore une fois, un media parle de soupçons de corruption. A tort ou à raison, tout cela fini par ternir durablement l’image de ce pays. La réaction des qatariens ne s’est pas fait attendre.
Le grand public ne recherche même plus à savoir si les faits sont avérés ou pas
Tous les cinq ou six mois il y a un média qui évoque un problème de corruption concernant un évènement qui se produit ou va se produire au Qatar.
- Il y a quelques jours on apprenait la suspension par la FIFA pendant un an, pour refus de donner des informations, de Saoud Al-Mohannadi, vice-président du Qatar football et de la Confédération asiatique de football.
- Deux jours avant on apprenait la suspension pendant 4 mois du laboratoire antidopage du Qatar récemment accrédité par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA)
- Aujourd’hui, les medias, l’Express, Le monde et d’autres journaux titrent « Le Qatar soupçonné de corruption pour l’organisation des Mondiaux 2017 ».
- Personne n’a oublié les soupçons sur l’attribution de la Coupe 2022…
Le grand public ne recherche même plus à savoir si les faits sont avérés ou pas. On associe trop souvent corruption et Qatar pour le sport. Les dirigeants du Qatar feraient bien de s’inquiéter de cette situation, après la joie pourrait arriver la désillusion. A tort ou à raison, tout cela fini par ternir durablement l’image de ce pays.
La réaction des qatariens ne s’est pas fait attendre
The Qatar Athletics Federation is “considering” legal action against a French newspaper after it published claims that the organization paid close to $3.5 million to a company headed by Papa Massata Diack, the disgraced son of the former IAAF president, Lamine Diack.
In a statement, the federation said it had “no knowledge or involvement” of the money that Le Monde said had been paid to the firm in 2011 – just days before Qatar’s failed bid to host the 2017 World Championships, AFP reported.
Première publication le 18 novembre 2016