Il y a ceux qui le font à visage découvert, ceux qui ont un double langage et ceux qui tirent les ficelles. Depuis l’accord donné par le PSG et la Préfecture de Police des masques tombent pour s’opposer à cette décision.
Pourquoi les « sabordeurs » n’ont aucune chance de réussir
En premier le Collectif Ultras Paris était reçu pendant deux heures par des représentants du PSG, rencontre présidée par Jean-Claude Blanc directeur général délégué. Moment attendu depuis longtemps par ces supporter du club parisien qui ont exprimé le désir de pouvoir soutenir leur club le PSG et redonner vie au Parc des Princes. Mais avant et après cette rencontre, d’aucuns s’évertuent à vouloir saborder ce retour dont le club et les ultras ont un besoin vital.
En interne
Il y a ceux qui agissent à visage découvert pour empêcher ce retour, sans doute par intérêts personnels, comme le directeur de la sécurité du club qui en apparence fait la pluie et le beau temps pour savoir qui a le droit de pénétrer au Parc des Princes, ou comme ce journaliste sportif qui signe AH dans le journal l’Equipe et qui a une vision de la problématique faussée par des liens de « parrainage familiaux » avec le directeur de la sécurité.
Il y a ceux qui pratiquent le « double langage » avec une facilité déconcertante comme le directeur général délégué qui soutien sans faille le directeur de la sécurité, tout en laissant croire qu’il est disposé à faciliter le retour du CUP comme le souhaitent pourtant le président du club et l’actionnaire…
En externe
- Et puis, comme souvent, il y a ceux qui dans l’ombre tirent les ficelles de la « marionnette ». On peut s’interroger sur le rôle du Chef Antoine Boutonnet, qui depuis 7 ans pourchasse les supporters indélicats au PSG. Plus discret ces derniers temps, après la mésaventure de son équipe dans les bagarres de Marseille au moment de l’Euro 2016. Est-il raisonnable de laisser un fonctionnaire autant de temps au même endroit, alors que les rancunes s’accumulent ? Si en 2009, la création de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme pouvait apparemment se justifier, on peut se demander si les compétences reconnues de renseignements, du dirigeant de cette division, le Chef Antoine Boutonnet, ainsi que son équipe, ne seraient pas mieux employées à lutter contre le terrorisme qui frappe la France ?
- D’autres comme Pascal Praud qui sur 20 h Foot fait donner de la voix à des invités savamment sélectionnés qui mettent en avant la période avant 2010, sur le thème du RACISME. Pourtant depuis 6 ans les Ultras absents du Parc ne peuvent pas être tenus responsables du passé de quelques-uns. Signalons que toute l’équipe autour de Praud et loin de partager ses idées surtout lorsqu’il avance des théories comme « Moi, je pense depuis toujours que dans le mouvement Ultras le mot violence est inhérent au mot Ultras.» (20h Foot du 30-9-2016)
- D’autres encore comme SOS RACISMES qui récemment se portait aux côtés du club alors qu’il était question d’annulation de billets achetés. Continuant à joueur un « jeu trouble » comme le rapporte James de l’ADAJIS dans une interview « Mais aussi d’Hermann Ebongué, vice-président de SOS Racisme, qui avait positionné sa société Sportitude auprès du PSG et qui n’avait aucun intérêt à ce que les discussions avancent entre le club et nous. »
Fort d’au moins 1700 adhérents et probablement plus à l’avenir, fort d’un projet qui s’appuie sur une Charte écrite sur les valeurs du Collectif Ultras Paris qui n’est pas assez mise en valeur, fort d’une assistance juridique avec des avocats de renoms au sein d’ADAJIS, Le CUP sait que le temps joue en sa faveur et puisque la volonté du club pour un retour des Ultras est réelle avec l’avis favorable de la Préfecture de Police de Paris, il est de temps de redonner une chance aux supporter passionnés de pouvoir « pousser » le PSG vers le haut.