Dans quelle galère les dirigeants actuels du PSG se sont embarqués. Ils pourraient avoir à gérer dans les mois à venir des centaines de procès, tous perdus d’avance et sans doute bien plus grave, une véritable bombe juridique en préparation. Le « patron » du club, l’émir du Qatar ferait bien de demander des comptes avant qu’il ne soit trop tard.
L’ennemi de l’intérieur
Alors que certains présidents de clubs de la Ligue 1 essaient de trouver « une combine » pour freiner l’ambition du PSG, le club parisien doit faire face à un ennemi de l’intérieur, sans doute encore pire.
On s’interroge sur le point de vue du « patron » du PSG, l’émir du Qatar, sur l’état actuel du club ? Lors du remplacement de Laurent Blanc, c’est bien l’émir qui a porté le chapeau, en passant pour quelqu’un qui supporte mal la critique, en particulier celle venue des Emirats Arabes Unis. Ce qui nous étonne à Qatarinfos.net, c’est que Tamim al Thani a été formé à endurer 100 fois pire qu’un échec en quart de finale de la Champions League.
Beaucoup plus grave est le recrutement d’Unai Emery qui doit faire ses preuves, car pour l’instant au-delà du bla-bla médiatique où il excelle on a du mal à comprendre où il veut en venir ? Après le départ de Zlatan, voici celui de David Luiz, ce qui faisait la magie du PSG disparait pour laisser la place à « une équipe moyenne ». Ou alors Unai Emery est un « saint » capable de faire des miracles et pour l’instant il cache bien son jeu, ou alors, une croix a été faite pour cette saison sur la Ligue des Champions ?
Au moment où Aulas le président de l’OL essaie de trouver une combine pour diminuer la « puissance du PSG », le jugement du TI de Paris 16e donnant raison aux supporters qui se voient dédommagés pour cause d’annulation de billets, tombe mal. Le PSG avait compris qu’il ne fallait pas aller devant la justice pour annulation de billet, car son dossier était fragile. Il avait concilié afin d’empêcher un jugement qui pourrait se transformer en jurisprudence pour l’ensemble des clubs de la Ligue 1. Trop tard, le jugement du 6 septembre 2016 pourrait bien être invoqué, par chaque supporter ou spectateur qui se verrait annuler son billet et ceci dans n’importe quel club français. Est-ce encore l’émir du Qatar, Tamim al Thani, « patron » du PSG qui va servir d’épouvantail dans cette affaire ? Pourquoi couvre-t-il autant d’incompétences ?
Une bombe juridique en préparation
L’émir doit savoir que le pire est devant lui, car une « véritable bombe juridique » se prépare, elle devrait impliquer la plus part des clubs de la Ligue 1 qui ont accepté des comportements inadmissibles venant du PSG. Si cette nouvelle affaire venait à aller devant les tribunaux, elle dépasserait largement le cadre de la presse française et porterait préjudice une fois encore au Qatar, car elle serait exploitée.
C’est bien à l’intérieur du PSG que le « mal » ronge les fondamentaux du club. Le PSG sombre lentement, le « patron » du club, l’émir du Qatar ferait bien de demander des comptes avant qu’il ne soit trop tard.