Le marché qatarien reste difficile d’accès pour les PME

Dans l’organigramme de l’ambassade de France au Qatar, Pascal ROGER est le responsable d’antenne business. Dans un article publié par la BPI, il vous conseille de réfléchir à deux fois si vous êtes responsable de PME et que vous souhaitez travailler au Qatar.

 

Le Qatar un pays cher et difficile d’accès pour les PME

A la lecture de l’article publié par la BPI « Qatar : diversité économique et opportunités » je me suis demandé si Pascal ROGER, le responsable d’antenne business, à l’ambassade de France au Qatar, ne forçait pas un peu le trait. Et puis en le relisant, un mot me vient à l’esprit, réaliste.

Il ne manque pas d’aplomb cet homme-là, car autant il indique que le Qatar est un pays de grands projets donc une opportunité pour des grands groupes, autant quand il parle des PME, il ne fait pas dans la dentelle, « A moins de disposer d’une offre incontournable, les PME ont plutôt intérêt à se tourner vers l’Arabie Saoudite ». Evidemment je vous invite à lire l’intégralité de l’article et vous faire votre opinion, mais son propos dénote avec l’image que nous avions d’une ambassade de France au Qatar plus au service des qatariens que des français. L’affaire Marongiu, un citoyen français, dirigeant d’entreprise qui croupit en prison au Qatar est une véritable honte pour cette ambassade.

Ce que Pascal ROGER aurait pu rajouter :

  • c’est qu’il est difficile de rencontrer un qatari car ils ne représentent même pas 10 % de la population
  • la conjoncture actuelle au Qatar n’est pas bonne, on serre les boulons partout

Nous qui avons des appels de la part de chefs d’entreprises qui souhaitent travailler avec le Qatar et souvent des PME, nous allons nous servir de cet article pour leur montrer que si rien n’est impossible aux français, il est conseillé d’y réfléchir à deux fois avant de se lancer dans cet aventure. Et puis, puisque nous avons un nom, on ne manquera pas de les renvoyer vers lui.

Bonne lecture !