Le financement serait bouclé et le contrat en voie d’être signé. L’Egypte avec à sa tête un général devenu président, veut pouvoir agir pour se mettre en sécurité. Si l’affaire venait à se conclure quel pied de nez au Qatar !
Un général devenu président pressé de se mettre en sécurité
L’insécurité aux frontières de l’Egypte ne cesse de grandir notamment dans le Sinaï et à la frontière Libyenne. Ayant donné l’assurance à Israël, depuis un certain temps, que les deux pays n’étaient pas ennemis. L’heure est venue pour Al Sissi, un général devenu président, de s’offrir ce qu’il y a de mieux sur le marché des avions de chasse, pour la sécurité de l’Egypte. Après l’aval de son principal financier l’Arabie saoudite et de son associé les Emirats Arabes Unis, al Sissi en personne avec des professionnels de la question mène les négociations pour acquérir 24 Rafales. Compte tenu de la force de frappe de cet avion le nombre est déjà conséquent.
Selon le journal Le Monde la vente serait bien partie, nous restons prudents, mais l’espérons pour le constructeur du Rafale. C’est une histoire des plus cocasses, car ces Rafales auraient pu être livrés au Qatar. Ce pays maitre en discours a du mal quelque fois pour décider. En outre l’Egypte en a plus besoin que le Qatar et d’une manière plus urgente, car cela chauffe aux frontières. Si l’affaire venait à se conclure quel pied de nez au Qatar ! Pas étonnant qu’en Arabie saoudite on sable un bon jus de fruit.