Le Qatar dit être déçu du rapport de la Confédération Syndicale Internationale qui indique que les travailleurs expatriés au Qatar sont toujours maltraités. Concrètement le Qatar à part des mots qu’a-t-il fait ?
L’intention n’est pas toujours action surtout au Qatar
Le Qatar et ses nombreux conseillers pratiquent surtout « le baratin ». Et pensent que le monde entier va les croire. On frôle bien souvent « la bêtise » enfantine des conseillers enfermés dans une tour qui vivent plus dans le virtuel que dans le concret.
Or le rapport de la CSI ne pouvait faire autrement que constater qu’au Qatar on continue à mourir, à ne pas être payé à temps, à vivre entassés dans des appartements et sous le système du kafala sponsorship qui vous prive de toute liberté et où la justice est moyenâgeuse.
Bien sûr qu’ici ou là le Qatar améliore le quotidien de quelques expatriés. Il l’étale assez dans la presse pour que le monde entier le sache. Mais parler de la pointe de l’iceberg ne suffit pas.
Même l’intention est suspecte car tout l’édifice qatari repose sur des valeurs où l’ambiguïté règne en maître. Ces propres voisins, las de ces ambigüités attendent des actes concrets au lieu de mots qui n’ont plus aucun sens. L’émir Tamim très mal conseillé mène son pays dans l’impasse. Il y a urgence à nettoyer « le temple » et à faire.