Ils sont de retour, tapis dans l’ombre des manifestations contre la réforme des retraites. Ils attendaient le bon moment, le président de la république française leur a ouvert la porte qui laisse entrer la violence.
Puisque les manifestations dans le calme ne suffisent pas
L’intersyndicale y croit encore, faire retirer la réforme des retraites, mais le réel est parfois cruel. L’entêtement de Macron est toujours là. Son ambition, déconstruire le droit social pour satisfaire ses commanditaires qui lui ont permis d’arriver à la présidence.
L’utilisation du 49-3 à l’assemblée nationale a été la goutte d’eau qui fait tout basculer. Puisque les manifestations dans le calme ne suffisent pas, d’aucuns tapis dans l’ombre des manifestations contre la réforme des retraites ont décidé de peser sur le destin de la France. Ils ont choisi d’utiliser souvent le feu pour attirer l’œil, ils ont choisi de frapper fort sur les forces de l’ordre en faisant d’innombrables blessés. Chacun sait qu’une partie des forces de l’ordre suivra dans cette escalade. Où s’arrêteront- ils personne ne le sait vraiment ?
L’histoire de France montre que ces vieux démons souvent à l’action extrême sont capable du pire. Ils n’ont rien à voir avec le syndicalisme traditionnel, ils sont la pour fracturer le système politique mis en place par Macron et puis se retirer à nouveau dans l’ombre, ne croyant plus depuis longtemps au grand soir révolutionnaire.
Plus cette folle loi sur la réforme de la retraite va durer plus la violence va grandir, le pire malheureusement est devant nous. A cause d’un seul homme, la souffrance est si importante que ces démons pensent œuvrer dans l’intérêt des français, au risque parfois d’y laisser une partie de leur vie.
Lorsque dans quelques temps nous ferons le bilan « de tout ça » on pourra s’interroger sur le devenir de notre république qui donne autant de pouvoir à son président.
Hier, 24 mars les démons parisiens étaient de repos pour se refaire une santé, mais au stade de France le match de foot contre les Pays Bas a servi de lieu de protestation, à la 49, 03 minute, une partie du public a scandé : Macron démission!