Paris est un lieu de manifestations, ce 20 janvier 2019. En marge de la marche des femmes, Ludosky demande un référendum sur les revendications affichées par les gilets jaunes au lieu d’un débat qui est là pour endormir.
Il faut répondre à la colère sociale
L’AFP a produit un article qui touche à Priscillia Ludosky qui fait partie de marcheuses gilets jaunes qui manifestent à Paris ce 20 janvier 2019. Une continuation de l’acte 10 qui hier a vu 84 000 personnes défiler dans toute la France, selon les chiffres du ministère de l’intérieur et 147 365 selon un organisme indépendant « le nombre jaune ».
Priscillia Ludosky demande un référendum sur les revendications affichées par les gilets jaunes au lieu d’un débat qui est là pour endormir. Tout en laissant les gilets jaunes qui le souhaitent participer à ce débat.
Ce référendum proposé par Ludosky peut porter sur trois revendications issues des demandes des gilets jaunes :
- la baisse des taxes sur les produits de première nécessité,
- la mise en place du référendum d’initiative citoyenne,
- la baisse des rentes et des salaires des hauts fonctionnaires et des élus.
«Ils ne veulent pas se saisir du référendum, ils ne veulent pas aborder les sujets qui ne les arrangent pas», a-t-elle indiqué à l’AFP. «C’est important de continuer à se mobiliser pour dire que oui le débat il est là, mais non ce n’est pas ce qu’on a demandé», a-t-elle conclu.