Les saoudiens qui ne savent plus comment se sortir de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi dans leur consulat d’Istanbul ont trouvé un bouc émissaire, le Qatar.
Plus c’est gros, plus ça marche !
Jamal Khashoggi est rentré le 2 octobre 2018 dans le consulat d’Istanbul en Turquie pour des documents liés à son mariage. Or, depuis ce jour plus aucune trace du journaliste d’opposition saoudien, son corps a disparu. La police turque accuse les saoudiens de l’avoir assassiné et fait disparaitre le corps. Une équipe de saoudiens, quinze personnes, des militaires et un médecin légiste, venus pour quelques heures au consulat d’Istanbul, en même temps que Jamal Khashoggi, ils auraient emporté le corps avec eux.
Devant les prises de positions des grands pays occidentaux comme les US, UK et France, pour avoir des éclaircissements, les saoudiens ont cherchés un bouc émissaires pour créer la confusion.
Comme l’indique le journal «lorientlejour», les médias saoudiens pointent le Qatar du doigt. Quant à l’intérieur de l’Arabie saoudite plus personne n’ose prendre position en faveur de Jamal Khashoggi.
Le règne de la peur s’installe pour les saoudiens et les ténèbres s’épaississent à nouveau dans ce pays, absorbant le Prince héritier MBS qui un instant était apparu dans un flot de lumière.
dans « Blocus du Qatar,l’offensive manquée » du général François Chauvancy, celui ci dit de l’Emir Tamin « un dirigeant DISCRET qui a été SOUS-ESTIME; Je l’ai toujours ressenti comme tel à travers ce que vous nous avez dit de lui ; ce livre a une table des matières des plus allèchantes , intéressantes et sérieuses et je vois que ce livre a été écrit pas par n’importe qui et par un auteur tout ce qu’il y a de sérieux .