A la différence du Centre Pompidou où le silence est de rigueur par le nombre de visiteurs, dans la bulle culturelle de Jean Charles Gautron, la parole se libère.
Il est essentiel de recréer du lien, entre nous, les humains
Nous nous sommes donc rendus à Gençay, au Café Cantine, hier soir et avons passé une merveilleuse soirée. Non seulement, nous avons pris le temps d’admirer la vingtaine de portraits de Jean Charles Gautron, mais nous avons aussi pu discuter avec une partie des visiteurs (entre 150 – 180) qui engageaient facilement la discussion.
Comment vous dire ça ? Nous étions dans une bulle artistique, certes à Gençay mais finalement le lieu importait peu. A la différence du Centre Pompidou où le silence est de rigueur, dans la bulle culturelle de Jean Charles, la parole se libère. S’il fallait retenir une phrase des propos de l’artiste Gautron, » il est essentiel de recréer du lien, entre nous, les humains. » Ces portraits sont des moments de vie, parfois d’une célébrité ou mieux encore d’un être cher disparu à partir d’une simple photo. Toutes les œuvres de JCG sont des pièces uniques.
Plus tard dans la soirée, nous nous sommes retrouvés en terrasse, une douzaine, autour de Jean Charles et Aude, son épouse, à discuter de la vision particulière de l’artiste qui par quelques coups de crayon peut à volonté transformer un portrait en caricature.
Chaque convive avait commandé une pizza, le Café Cantine ne servant des repas complets que le midi, et arrosé d’une bière locale, délicieuse, consommée sans excès, ou d’autres boissons rafraîchissantes, nous avons passé une de ces soirées que je vous souhaite à tous, chers lecteurs où que vous soyez dans le monde.
Echanges culturels, rires et joie de vivre, un moment d’harmonie entre êtres humains. Le vivre ensemble à la française !