L’entêtement de l’émir du Qatar, actionnaire du Paris SG, à vouloir maintenir le président actuel du club parisien, conduit le PSG dans une impasse. Le nouveau cycle annoncé par le « feu follet » Nasser al Khelaifi fait un pas en avant et deux pas en arrière depuis le début de la saison 2016 – 2017.
De haut en bas c’est le souk au PSG
Quel que soit le résultat de ce soir, au Parc des Princes, du match PSG contre Nice, la confiance dans le club parisien s’évanouit. Bientôt il ne restera plus que les Ultras parisiens pour croire en leur club.
La responsabilité de président d’un club qui veut être un leader international demande une présence à temps complet et une autorité que Nasser al Khelaifi a perdue. Les caprices de l’émir du Qatar ont sapé l’image du président du club parisien.
Le changement d’entraineur, pour le moins improvisé et le manque de moyens pour le troquer par « une grosse pointure » a été le premier acte des difficultés actuelles du PSG. L’autre évènement capital fut le nécessaire départ de Zlatan qui était devenu incontrôlable, mais là encore sans préparer son remplacement.
Le nouveau cycle annoncé par le « feu follet » Nasser al Khelaifi fait un pas en avant et deux pas en arrière depuis le début de la saison 2016 – 2017. Trop accaparé par d’autres responsabilités, notamment par la gestion du groupe BeIN Sports, le président du club a délégué une grande partie de ses taches à des responsables qui ne sont pas à la hauteur de la situation. L’entêtement de l’émir du Qatar, actionnaire du Paris SG, à vouloir maintenir le président actuel du club parisien, conduit celui-ci dans une impasse.
Même si le PSG venait à gagner contre le leader NICE, l’instabilité est palpable et périlleuse pour le club. L’émir doit changer de président et confier cette tâche à quelqu’un de sa famille à l’autorité reconnue. Cela aurait dû se faire en début de saison, tout retard ne fait qu’aggraver la situation du club parisien. Nasser al Khelaifi pourrait être un excellent « conseiller » du nouveau président.