
En regardant mes amis américains plusieurs pensées contradictoires se bousculent.
L’incertitude est la forme intellectuelle de la fourberie
Elle s’insinue dans les esprits, semant le doute et l’ambiguïté, transformant la réalité en un labyrinthe de miroirs déformants. Là où règne l’incertitude, la confiance s’effrite, et les intentions se voilent d’un mystère impénétrable. Les décisions deviennent des dilemmes sans fin, et chaque choix semble trahi par une multitude de possibles inconnus.
Jean Baptiste Blanchard, a écrit : Le peuple appelle gens d’esprit ceux qui sont fins, mais il vaudrait encore mieux être stupide et passer pour tel, que d’être fin et trompeur.
En regardant mes amis américains plusieurs pensées contradictoires se bousculent ce matin du 10 avril 2025. Le vieil homme qui les dirige est passé maître dans l’art de l’incertitude et son regard sur le passé fait froid dans le dos. Il pourrait dire : Je souhaite finir mes jours dans le bonheur d’autrefois, baigné par les doux souvenirs des jours paisibles où l’innocence et la simplicité régnaient en maître. Alors que le monde moderne semble se complexifier à outrance, je me réfugie dans les réminiscences des moments passés, où chaque sourire et chaque regard avaient une clarté et une pureté inégalées. C’est dans cette quête de sérénité et de bonheur authentique que je trouve la force de surmonter les affres de l’incertitude, et de redécouvrir la joie véritable qui réside dans les choses simples et précieuses de la vie.
Toutefois, un problème se pose, le vieil homme n’a jamais connu la simplicité, pourrait- il se mentir à lui-même ? L’avenir nous éclairera !