
Les parties s’engagent à « respecter son indépendance, sa souveraineté et ses frontières existantes ».
Depuis longtemps la confiance à la parole russe est vaine
Le mémorandum de Budapest a été signé le 5 décembre 1994 par l’Ukraine, la Fédération de Russie, les États-Unis et le Royaume-Uni. La France et la Chine le rejoignent plus tard. En échange de la dénucléarisation de l’Ukraine et de son adhésion au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), cet accord prévoit que toutes les parties s’engagent à « respecter son indépendance, sa souveraineté et ses frontières existantes ».
Depuis longtemps la confiance à la parole russe est vaine.
Avec des décennies de consensus politique occidental impitoyablement balayées, les nations européennes doivent maintenant faire tout ce qui est en leur pouvoir pour préserver la souveraineté de l’Ukraine et repousser l’agression de la Russie.
En 2025 qui est assez idiot pour faire confiance à la Russie !
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