Trois jours après des lignes TGV de la SNCF, ce sont les réseaux de fibre optique de plusieurs opérateurs français qui ont été visés dans la nuit de dimanche à lundi par des actes de « sabotage nocturne », en plein Jeux olympiques de Paris.
Un acte politique et une dérive possible
Ces actes de malveillance ont touché les installations de Free et SFR notamment dans six départements: les Bouches-du-Rhône, l’Aude, l’Oise, l’Hérault, la Meuse et la Drôme, a appris l’AFP de source policière, confirmant une information du Parisien.
Notre commentaire
La situation politique française totalement instable pourrait bien donner des idées à certains groupes radicaux. Les JO ne sont qu’une excuse supplémentaire. C’est un acte politique et une dérive est toujours possible