La direction d’Atos attendait des propositions de financement d’ici le 26 avril 2024, reporté finalement au 3 mai pour permettre notamment à l’Etat d’avancer cses pions sur les activités stratégiques.
Qui aura le dernier mot ?
L’actuelle direction d’Atos après avoir séparé les activités de l’ensemble de l’entreprise en deux pôles n’a pas souhaité lâcher les activités correspondantes au prix assez misérable qui a été proposé. Depuis, d’autres propositions sont apparues.
Un problème de fond demeure, si la direction d’Atos attend des propositions de financement, plusieurs groupes souhaitent s’approprier de l’ensemble de l’entreprise, en particulier la société « onepoint » en collaboration avec d’autres financiers, un groupe de « hedge funds » qui n’hésite pas à dire que virtuellement ils en sont propriétaires.
Depuis quelques heures c’est le retour de Kretinsky qui n’accepte pas l’échec des négociations du mois de février 2024. Les activités « sensibles de l’Etat » étant mis à l’écart peut être qu’un accord pourrait être trouvé.
On parle aussi de Thales qui pourrait participer à l’achat d’Atos, soit la partie dont l’Etat souhaite protéger soit tout ou partie. D’autres pourraient surgir et créer la surprise !
Le bal des prétendants est ouvert, qui aura le dernier mot et surtout que veulent- ils faire d’Atos ?