Les objectifs économiques de l’Angola divergent sur les quotas de production imposés par l’OPEP.
Trop c’est trop
Les autorités de l’Angola n’acceptent pas la décision de l’OPEP voulant lui imposer un quota de 1,11 millions de barils/jour alors que ce pays a besoin pour honorer ses contrats d’un minimum de 1,18 millions de barils/jour.
L’OPEP n’ayant pas répondu favorablement aux contraintes de l’Angola ce pays claque la porte de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole.
Ceci aura probablement un impact sur les prix du baril de pétrole et pourrait donner envie à d’autres pays de quitter l’OPEP devant son intransigeance.