En 2022, 1,577 millions de voitures neuves ont été immatriculées contre 1,709 un an plus tôt, soit une baisse de 7,7 % sur un an.
Une étude INSEE
En 2022, dans un contexte de fortes tensions inflationnistes et de pénuries de composants, les ventes de voitures neuves ont diminué de 7,7 % par rapport à 2021. Par rapport à 2019, la baisse est encore plus marquée (- 30,2 %), les immatriculations de véhicules neufs n’ayant pas connu de rebond en 2021 après la forte chute des immatriculations pendant la crise sanitaire. La motorisation électrique confirme sa dynamique et passe au-dessus de la barre des 10 % des ventes de voitures neuves tandis que la part des motorisations thermiques continue de diminuer. Les ventes d’occasion sont également en fort recul (- 13,3 %), au plus bas depuis plus de 20 ans. Ce repli concerne principalement les véhicules les plus récents. L’âge moyen des véhicules échangés sur le marché de l’occasion dépasse désormais les 10 ans. La part des véhicules électriques dans les achats de voitures neuves est assez contrastée dans les onze agglomérations ayant mis en place une ZFE-m.
Baisse des immatriculations de voitures neuves
En 2022, 1,577 millions de voitures neuves ont été immatriculées contre 1,709 un an plus tôt, soit une baisse de 7,7 % sur un an. Hormis entre les mois d’août et novembre 2022, les ventes de voitures neuves ont reculé chaque mois par rapport à l’année précédente. Ces évolutions s’inscrivent dans un contexte de fortes tensions inflationnistes et de pénuries de composants.
La baisse des immatriculations neuves est beaucoup plus marquée par rapport à 2019, dernière année avant la crise sanitaire : – 30,2 %. En effet, la chute des immatriculations en 2020 pendant la crise sanitaire n’avait pas été suivie d‘un rebond en 2021.
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