La nouvelle Constitution tunisienne, adoptée à 94,6% mais avec une participation seulement de 30,5 % des inscrits, donne des pouvoirs immenses au président Kaïs Saïed, il sera tenu comme seul responsable, si la situation économique continue de se dégrader.
Ça passe ou ça casse
Jugeant la Tunisie ingouvernable, le président Kaïs Saïed s’est donné tous les pouvoirs nécessaires pour arrêter la spirale économique infernale qui conduit son pays vers le néant.
La nouvelle Constitution, taillé sur mesure, lui confère les pouvoirs qu’il désirait, même si elle a été adoptée avec seulement de 30,5 % des inscrits. Dés ce matin, la Tunisie toute entière attend, dans les meilleurs délais, des résultats économiques incontestables.
Alors que de nombreux pays dont les USA, s’alarment sur les conséquences de cette quasi dictature, pour Kaïs Saïed « ça passe ou ça casse.»
Le compte à rebours pour Kaïs Saïed vient de commencer. Les tunisiens lui feront payer très cher et pas seulement par les urnes, son possible échec.