Dans certaines conditions le littoral et les marais peuvent piéger du carbone.
Un laboratoire étudie ce phénomène
La forêt Amazonienne est connue pour l’absorption du carbone de l’air (CO2), d’où son nom de « poumon vert » de la planète. Plus récemment identifiés pour cette fonction, les littoraux et les marais ont un rôle tout aussi essentiel, ce sont des « poumons bleus ».
Les vasières, les herbiers, les marais, les mangroves et les océans peuvent capturer et séquestrer le carbone issu de l’air. Ce carbone stocké dans ces écosystèmes, appelé « carbone bleu », il est sujet à de nombreux questionnements.
Le laboratoire LIENSs est une Unité Mixte de Recherche interdisciplinaire (UMRi 7266La Rochelle Université – CNRS). LIENSs met l’interdisciplinarité au service des enjeux du développement durable en lien avec le littoral. Il intègre les compétences de nombreuses disciplines qui vont des sciences de l’environnement aux sciences humaines en passant par la chimie et les biotechnologies.
Ses recherches se focalisent tout particulièrement sur le fonctionnement du système littoral, son évolution dans un contexte de changement global et d’urbanisation croissante des côtes, son usage et son exploitation durable.
La Nouvelle République du 18 février 2022 a commis un article sur ce sujet, titré : Le carbone bleu, la solution venue de l’océan.
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