La machine à broyer se met en place dès fin 2020. Aprés le hold-up politique, le hold-up social.
L’état aura un droit de veto
Dès le 1er décembre 2020, c’est-à-dire demain, la caisse nationale du régime universel (CNRU) va être mise en place avec désignation de son directeur général.
Ce Directeur aura, dès sa nomination, la mission et le rôle de vigie pour le compte de la tutelle, l’état.
Ainsi, dès qu’une décision prise par l’une des directions (ou conseil d’administration) qui serait susceptible de fragiliser la mise en place du système universel, le Directeur général devrait alerter la tutelle qui disposera d’un droit de véto. Et au cas où ce système d’alerte ne suffirait pas, un comité de surveillance sera créé.
La CNRU sera seule à disposer d’une personnalité morale, toutes les autres organisations, ARRCO-AGIRC, CARSAT, caisse autonomes, régimes spécifiques seront dépendantes de la caisse nationale du régime universel.
Les partenaires sociaux syndicats, patronats, travailleurs indépendants, ne pourront rien faire sans l’aval du Directeur général donc de l’état.
Au niveau financier, toutes les réserves actuelles seront intégrées dans le budget de la CNRU.