Voilà une autre réponse au livre de Chesnot et Malbrunot, « Qatar papers,» elle émane de M. Djebli de l’association Cultures et Citoyenneté située à Clermont- Ferrand.
Quand le journalisme s’appauvrit, et le journaliste s’enrichit !
Monsieur Mourad Djebli cité dans le livre de Christian Chesnot et Georges Malbrunot «Qatar Papers : comment l’émirat finance l’islam de France et d’Europe, aux pages 170-176, n’a pas apprécié la transcription de la discussion qu’il a eu avec Malbrunot, de passage à Clermont- Ferrand. Voici des extraits de son article publié sur son blog où vous trouverez l’intégralité de son article.
Vous imaginez ma stupeur de découvrir notre histoire dans un livre « Qatar Papers » en quelques pages dont l’imprécision sidérante, ne peut être mise que sur l’incompétence du journaliste, ou sur sa malhonnêteté !
Reprenons ! Ni l’adresse du local, ni le bâtiment servant de mosquée, ni les noms des protagonistes ou leurs fonctions ne sont exacts, à part le mien. A se demander, de quelle mosquée parle-t-il ? Je ne travaille pas chez Siemens non plus !…
La conclusion est sans appel : Je ne sais M. MALBRUNOT ce qui vous anime, mais, je n’achèterai pas votre livre et je ne le recommanderai pas pour la simple raison, qu’à chaque fois que j’y pense, un seul mot me vient à l’esprit : torchon !
Nous laisserons nos lecteurs se faire une opinion, en lisant le livre mais aussi en intégrant les réponses de certains protagonistes. Il est fort probable que d’autres interventions viennent contester plus au fond le message général du livre dont nous parlerons prochainement car nous arrivons à la fin de sa première lecture.
La première réponse au livre Qatar papers peut vous intéresser : La montagne des accusations et la souris de la réalité.