Dans la hiérarchie des obstacles à régler pour que le PSG atteigne le dernier carré de la Ligue des champions, le départ du président du Paris Saint Germain arrive largement en tête. Le nouvel échec au niveau de la Ligue des Champions 2018-2019 est insupportable.
La prime à l’échec
Au moment du départ de Laurent Blanc, Nasser al Khelaifi a perdu le dernier petit morceau d’autorité qu’il lui restait. Président du club parisien par intermittence, il a confié le travail au quotidien à son responsable de la communication Jean Martial Ribes et de temps en temps à Jean Claude Blanc, DG délégué. Nasser a de telles responsabilités avec notamment le Groupe BeIN Sports, encore déficitaire en 2018, sans compter les soucis liés au « fair play » financier, qu’il ne peut que parader et faire de la représentation.
Comment peut-on ignorer le malaise qui règne au sein du Paris Saint Germain qui explique le manque d’envie des joueurs souvent déstabilisés comme Cavani, Thiago Silva, Verratti, Rabiot… Et que dire des résultats du PSG au niveau européen !
Depuis mai 2016, nous demandons le remplacement du président du club, par quelqu’un capable de s’affirmer face à l’émir Tamim, qui entre deux tasses de thé dicte à son « ami » Nasser al Khelaifi ce qu’il doit faire.
Or l’émir du Qatar est un mauvais conseiller pour Nasser, chacun se souvient de l’affaire de Ben Arfa ou du montant astronomique pour acquérir Neymar et Mbappé ou de la valse des entraineurs.
Tant que Nasser al Khelaifi restera à la tête du PSG, le club parisien n’atteindra pas le sommet de la Ligue des Champions. L’émir confond amitié et efficacité, en gardant au pouvoir Al Khelaifi, il instaure une prime à l’échec qui lui sera reproché tôt ou tard.
Le nouvel échec au niveau de la Ligue des Champions 2018-2019, contre Manchester, au Parc des Princes, est insupportable.
entierement d accord est-il reel que nasser serait remplace par un frere de l emir