Tous les étudiants syriens ont- ils eu les mêmes chances de réussite ?
Interrogations ?
Le 28 juin 2018, une cérémonie de remise des diplômes aux étudiants du DU Sorbonne, Langues, Humanités, Citoyennetés a eu lieu Salle Goullencourt, à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Ce diplôme universitaire s’inscrit dans un programme à destination des étudiants réfugiés, en particulier des jeunes syriens, initié en 2015, auquel le Qatar a participé financièrement, apparemment.
Tout une série de questions se posent encore à ce jour concernant ces étudiants syriens tant au moment du recrutement que tout le long de leur scolarité.
Des arguments sont avancés qui porteraient à croire que tous les étudiants syriens n’ont pas eus les mêmes chances de réussite, voire de nombreux étudiants syriens auraient été poussés dehors pour des raisons discutables.
Quel a été le rôle du Qatar, en partie financeur, notamment celui du Procureur général du Qatar, Ali bin Fetais Al Marri ?
As- t-il eu toutes les informations concernant les nombreuses difficultés subies par une partie des étudiants syriens ? Alors que certains étudiants ont essayé de le contacter pourquoi aucun n’a réussi à l‘avoir même au téléphone ? Pourquoi la presse ne parle plus de ce sujet ? Pourquoi la presse de l’Université n’a jamais parlé pendant ses trois ans, ni mis en valeur le rôle, Ali bin Fetais Al Marri et du Qatar ?
Le 29 octobre 2015, les dix premiers étudiants réfugiés sont admis au logement de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, à l’époque le président de l’Université était Philippe Boutry, or, le 17 mai 2016, Georges Haddad est réélu au poste de président. Ceci aura- t- il un impact sur la présence des étudiants syriens réfugiés au sein de l’Université ?
Nous allons tenter d’apporter des réponses à ces questions et essayer de comprendre ce qui s’est passé !
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