Un australien de 68 ans abusé par un qatari très haut placé, risque la prison à vie pour une sombre histoire de chèques sans provisions.
La justice qatarie
Le média canadien « lemondejuridique » du 17 septembre 2018 fait un récit complet de l’Affaire Joseph Sarlak, injustement retenu au Qatar et donne le nom de celui qui l’a envoyé en prison.
Une histoire des plus classiques, le sponsor qatarien majoritaire, appartenant à la famille royale, selon le média canadien, se sert dans la caisse de l’entreprise et le dirigeant, Joseph Sarlak, un australien de 68 ans se retrouve en prison pour chèques sans provisions.
Or, Joseph Sarlak a de graves problèmes de santé et il pourrait bien finir sa vie en prison. Sa famille est particulièrement inquiète et demande au gouvernement australien d’intervenir avant qu’il ne soit trop tard.
Le Qatar a indiqué qu’il allait modifier la loi sur les chèques sans provisions. Il serait opportun selon nous, en attendant, d’expulser des gens comme Joseph Sarlak. Ceci viderait grandement les prisons qatariennes.
Cette sombre histoire, rappelle celle de du français, Jean Pierre Marongiu, et des centaines d’autres, injustement retenu au Qatar pendant presque 5 ans et libéré depuis quelques mois par une grâce de l’émir du Qatar.
Rien ne démontre comment s’est faite la libération du Qatar. La grace est une hypothèse parmi d’autres