Plusieurs médias s’interrogent sur la fortune personnelle du Procureur général du Qatar et des liens entre une de ses sociétés et son poste d’avocat spécial auprès des Nations Unies chargé du recouvrement des biens mal-acquis dans les pays arabes.
Une longue enquête concernant un personnage clé du Qatar
Pourquoi une partie de la presse française s’intéresse à Ali Bin Fetais al-Marri et notamment à ses biens immobiliers ou placements financiers ?
Est-il le dirigeant d’un centre anti-corruption à Doha et Genève, le ROLACC (Rule of Law Anti-corruption Center) ?
Il y a quelques mois, des rumeurs dans le milieu de la presse écrite faisaient état d’une enquête à charge contre le Procureur général du Qatar et notamment sur son rôle d’avocat spécial auprès des Nations Unies chargé du recouvrement des biens mal-acquis dans les pays arabes. Le déballage ne fait que commencer et pourrait voire cet homme clé du Qatar, notamment au niveau international dans l’œil du cyclone.
Paie- t-il son amitié avec Juppé ? Ou son intervention dans l’affaire Wade au Sénégal ?
La réputation du Qatar peut-elle être touchée par ce qu’on va apprendre ?
Qui a donné ces informations à la presse ?
Les jours à venir pourraient réserver quelques surprises de taille.