Le petit commando qui dirige le Qatar surveille avec la plus grande attention l’information qui circule sur le pays. Des journalistes français qui par le passé bénéficiaient de fuites savamment organisées se plaignent car la source s’est tarie.
La liberté de la circulation de l’information, sujet contre-nature au Qatar
Pour gagner un peu d’argent, bien souvent les journalistes sont aussi écrivain. Le Qatar a été un lieu d’inspiration mais quand l’information devient rare, il est plus complexe d’écrire. Néanmoins, il reste ceux qui comme Emmanuel Razavi ont vécu au Qatar. Son livre « Qatar les vérités interdites. Un émirat au bord de l’implosion, » « Éditeur l’Artilleur,» est un document dés plus intéressants pour comprendre ce pays.
Pour ceux qui n’ont pas vécu au Qatar, l’affaire se complique, car le petit commando qui dirige le Qatar surveille désormais avec la plus grande attention l’information qui circule sur le pays. Des journalistes qui par le passé bénéficiaient de fuites savamment organisées se plaignent. L’ambassade du Qatar en France et l’ambassade de France au Qatar ont été priées de garder leur silence et d’éviter de participer à des règlements de comptes politiques en France par exemple. Faut-il s’étonner que ces journalistes qui n’ont plus d’informations « tapent » encore plus fort sur le Qatar ?
Personne ne peut réellement être surpris que ce pays qui a supprimé le seul média libre au Qatar, Doha News, veuille contrôler totalement la circulation de l’information. N’est-ce pas le lot de tout état qui de près ou de loin se comporte comme une dictature ?