La crise dans le Golfe reprend de l’ampleur. Après les trois pas de danse dans le Golfe d’Erodgan et puis s’en va, voilà que les 4 boycotteurs du Qatar accusent à nouveau ce pays de supporter le terrorisme, et utilisent les médias comme arme de pilonnage.
Les Emirats arabes unis chargés de faire le sale boulot contre Doha
Dans un communiqué, les quatre belligérants, Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis et Egypte continuent de pilonner Doha sur le sujet qui peut le discréditer au niveau international, le terrorisme. Ils rajoutent aux longues listes déjà publiées, 9 autres entités qui impliqueraient en tout ou partie le Qatar pour son soutien au terrorisme.
N’ayant pas digérés le mauvais coup de communication des américains qui ont signé un accord avec le Qatar, justement sur la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes, la bande des 4 boycotteurs sort l’artillerie médiatique. C’est du lourd !
Il paraît selon un reportage à voir aux Emirats arabes unis que finalement ce seraient les qataris qui ont initié le désastre du 11 septembre 2001 aux USA. Evidemment l’ambassadeur du Qatar aux USA, très sérieusement, a répondu que les américains avaient été clairs sur le sujet, ce sont bien deux pays qui avaient été impliqués dans cette « affaire du 11 septembre » l’Arabie saoudite par ses ressortissants et dans une certaine mesure les Emirats arabes unis pour blanchiment
Après avoir accusé les qataris de « sorcellerie », voilà que les émiratis chargés de faire le sale boulot dans cette crise dans le Golfe persique accusent maintenant le Qatar d’avoir frappé les USA le 11 septembre 2001. Un lecteur qui nous signalait, ce matin, cet article nous disait « le chargé de communication des Emirats arabes unis dans cette crise contre le Qatar doit cesser de fumer la « moquette » car s’il présente ce reportage au festival de Cannes en 2018, il aura certainement le premier prix de la –connerie-».
Après que le Qatar ait accusé les Emirats arabes unis de l’avoir piraté, la réponse ne c’est pas fait attendre. Au lieu de s’élever le débat sombre dans le caniveau médiatique voire poubelle de l’histoire.