La tension est à son comble car de nombreux « supporters Ultras » non interdits de stades ne peuvent accéder au Parc des Princes. Si le président du PSG n’arrive pas à débloquer la situation il risque de perdre toute crédibilité. A Doha cette affaire est regardée du sommet de l’état et elle pourrait prendre une tournure politique.
Tout le monde rentre au Parc ou personne
Le match PSG contre Monaco, ce dimanche 29 janvier 2017, a été choisi par les ultras parisiens pour une épreuve de force avec les dirigeants du club. Le message envoyé est clair : « Dimanche, les mots d’ordres seront Solidarité et Union ! Depuis maintenant plusieurs mois, certains membres du Collectif Ultras Paris non interdits de stades, dont le président, continuent de se voir refuser illégalement l’accès au Parc des Princes par les services préfectoraux. Une situation censée à la base évolutive est devenue une norme que nous n’accepterons plus désormais. Donc à partir de dimanche, tout le monde rentre au Parc ou personne ! Non à la répression et l’injustice ! »
Si le président du PSG n’arrive pas à débloquer la situation il risque de perdre toute crédibilité tant auprès de son personnel que face aux supporters. La Préfecture de police de Paris en faisant mettre un genou à terre à Nasser al Kelaifi prend le risque de le déstabiliser ce qui pourrait avoir des conséquences incalculables. A Doha cette affaire est regardée du sommet de l’état et elle pourrait prendre une tournure politique.