Tenant compte des remarques de l’ensemble du monde économique, les autorités qatariennes modifient à nouveau l’application de la loi 21-2015 sur le travail et la sortie du territoire.
Deux éléments révisés sur la loi 21-2015
L’âge de soixante ans ne peut pas être opposé aux expatriés travaillant au Qatar en cas de fin de contrat. L’administration qatarie convient que l’on ne doit pas se priver de certaines compétences à cause de l’âge.
En deuxième lieu, l’administration du travail et le ministère de l’intérieur assouplissent l’utilisation des visas et des quotas en particulier en cas de fin de contrat prévu ou en cas de rupture avec l’accord de l’employeur. Dans les deux cas, l’expatrié est déjà sur le sol qatarien.
Tenant compte des remarques de l’ensemble du monde économique, les autorités qatariennes modifient à nouveau l’application de la loi 21-2015 sur ces deux points.
Rappel
L’émir modifiait une première fois la loi 21-2015 qui s’applique depuis le 13 décembre 2016. Ainsi, un expatrié qui souhaite mettre fin à son contrat de travail avant terme peut le faire à conditions de respecter les délais habituels de prévenance. En cas de refus de l’employeur, ce qui bloque la sortie de l’expatrié, celui-ci peut saisir le Comité ad hoc qui statuera. Ceci devrait mettre fin à la situation des « fugueurs » qui lorsqu’ils ne revenaient plus auprès de leur employeurs devenaient des clandestins recherchés par la police.