Les qatariens c’est bien connu ont un fort pouvoir d’achat, ils font l’objet d’une recherche permanente de renseignements sur leur vie privée afin d’anticiper ou susciter leurs désirs, cette recherche apparemment n’a pas de limites.
Le partage de renseignements privés remis aux commerces peut être un danger
Lors des différents achats qu’ils effectuent, comme dans beaucoup de pays au monde, les qatariens répondent, sans se méfier, à de nombreux questionnaires notamment au moment de faire un crédit. Or, le média « Thepeninsulaqatar» vient de publier un article pour le moins alarmant. Des qatariens ont reçu des appels pour leur placer un produit ou un service montrant que leurs interlocuteurs avaient eu accès à des renseignements médicaux ou financiers les concernant.
Les qatariens c’est bien connu ont un fort pouvoir d’achat, ils font l’objet d’une recherche permanente de renseignements sur leur vie privée afin d’anticiper ou susciter leurs désirs, cette recherche apparemment n’a pas de limites. Comme le souligne cet article du media qatarien, les pouvoirs publics vont être sollicités car apparemment les dispositions législatives actuelles ne suffisent plus à contenir les dérives du « flicage commercial » des qatariens. Il est probable que la pratique de ventes de fichiers privés et le croisement des informations, plus les possibilités de suivis informatiques rendent la vie privée des qatariens et des expatriés un peu trop publique.
La concentration des achats à terme dans quelques grands centres commerciaux ne fera qu’accentuer cette mise à nue de la vie privée.