« Nous n’avons jamais essayé ça, » disait un grec qui s’exprimait à la télévision. Cette phrase pourrait s’entendre dans d’autres pays si par hasard Syriza venait à être majoritaire et qu’une partie de son programme venait à s’avérer efficace. Il y a une telle déception dans tous les pays européens que chacun à sa manière cherche cette étincelle pour allumer la flamme. On pourrait parler en Grèce, de l’esprit du 25 janvier 2015.
Alexis Tsipras, l’homme par qui l’espoir renaît
La Grèce est un petit pays, mais dans l’antiquité elle a été un phare pour le monde. La chanteuse Joan Baez disait il y a quelques années, « L’espoir est contagieux, comme le rire ». Et si partant de la Grèce un vent d’espoir et de liberté balayait toute l’Europe ?
Alexis Tsipras le leader de Syriza sera-t-il l’homme politique qui fera renaître l’espoir dans une Europe où règne la déception ? Après avoir épuisé tous les systèmes issus de nos écoles produisant des « clones politiques », appliquant les mêmes règles désastreuses et passant leur temps à justifier leur incapacité, beaucoup d’européens s’interrogent sur leur avenir.
« Nous n’avons jamais essayé ça, » disait un grec qui s’exprimait à la télévision en parlant de Syriza pour les élections législatives qui auront lieu dimanche 25 janvier 2015. Cette phrase pourrait s’entendre dans d’autres pays si par hasard Syriza venait à être majoritaire et qu’une partie de son programme venait à s’avérer efficace.
Jean Luc Melanchon qui se trompe de temps en temps, finira-t-il par avoir raison, lorsqu’il parle de « printemps européen » ou plus simplement d’un vent de liberté qui régulièrement traverse l’Europe ?
Il faut qu’Alexis Tsipras sache que s’il venait à gagner il ne serait pas seul face à la « troika », nous serions nombreux à le soutenir pourvu qu’il veuille réellement s’attaquer aux inégalités, cancer moral européen et mondial.
Καλή τύχη την Κυριακή (Bonne chance pour dimanche).