Le Japon, les USA et l’Angleterre chacun à sa manière souhaite reprendre au Qatar la Coupe 2022. Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge !
Ils n’acceptent pas au fond que le Qatar organise la Coupe 2022
Le Japon avait produit un communiqué indiquant que si le Qatar venait à perdre la Coupe 2022 il était prêt à le remplacer. C’est Scheikha Moza en personne qui s’est rendu dans ce pays, le Japon a indiqué que c’était un malentendu et qu’il souhait pleine réussite au Qatar pour cette organisation. Pour les USA on rapporte une colère incroyable de Bill Clinton lorsqu’il apprit en 2010 que c’était le Qatar. Depuis il ne cesse de chercher la faille pour faire revoter. On dit souvent du Qatar qu’il est très proche des américains, ceux-ci occupent un quart de son territoire « amicalement » avec la base d’al- Udeïd.
Mais le pire ce sont les anglais, le coup vient de loin et depuis quelques semaines c’est l’essai de la mise à mort par les médias. On finit par s’interroger sur la volonté du « The Guardian » est-ce les travailleurs qu’il défendait où c’était la première partie du bombardement médiatique sur le Qatar. La prise de position du premier ministre anglais David Cameron signale clairement que les anglais n’acceptent pas que le Qatar qui était sous leur protectorat jusqu’en 1971 puissent organiser la Coupe du monde de football.
Si pour le Japon les choses se sont éclaircies pour les deux autres USA et Angleterre « le fairplay » sur cette affaire ce n’est pas leur fort. Dans quelques semaines l’enquête pour corruption sera publiée, il faut souhaiter pour le Qatar que sa responsabilité ne soit pas engagée.
En attendant le sort des expatriés présents au Qatar qui travaillent pour la mise à niveau des infrastructures du pays doivent être améliorés et sans tarder. Une fois la problématique de la corruption réglée, le débat sur hiver été disparu, les travailleurs redeviendront le sujet clé de cette Coupe 2022 au Qatar. Comme disait ce cher Voltaire Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge !