Des particuliers qataris ou expatriés sont dans le collimateur des autorités qataries concernant le marchandage de Visas pour travailler illégalement. Le Qatar s’intéresse aussi aux entreprises qui emploient ces personnels.
Le fléau du travail illégal au Qatar
Selon la loi du Qatar, un homme au-dessus de 25 ans ne peut pas être sous le parrainage de son père. Pour ne pas être expulsé du pays où ils sont nés, bien souvent ils achètent « un vrai faux visa » qui coûte pour un pakistanais 60 000 QR (13000 €). Mais faut-il encore avoir des moyens.
Mais tous ne sont pas dans ce cas-là. Des particuliers qataris ou expatriés sont dans le collimateur des autorités du pays car ils font un trafic de Visas pour travailler illégalement. Tous les secteurs sont concernés et malgré la vigilance des autorités du Qatar la tendance est au développement.
Le Qatar s’intéresse aussi aux entreprises qui emploient ces personnels car sans débouchés le trafic s’arrêterait. De nouvelles règles pour durcir les condamnations seront applicables à partir du 1 er mai 2014. C’est un fléau pour l’économie du Qatar et une exploitation de plus de travailleurs qui une fois pris par la justice au mieux, sont expulsés, au pire pourrissent en prison souvent sans même pouvoir se défendre.
Bien que le Qatar ne soit pas le seul pays ou ce type de trafic prospère, un comité interministériel a été mis en place pour étudier les causes et les sources de la prospérité du commerce illicite de visas afin de le freiner. Le comité en association avec les services qui s’occupent de la lutte contre la traite des êtres humains aidera également les victimes de ce commerce illégal. L’objectif final est de protéger les travailleurs étrangers de toute sorte d’exploitation. Pour une fois on aimerait y croire et Il faut souhaiter qu’ils réussissent.
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