Affaires Marongiu, Belounis, al-Awartany, le sénateur estime que c’est une situation inacceptable.
Un autre politique apporte son soutien à Jean Pierre Marongiu
Le sénateur Christophe-André FRASSA envoie un message de soutien pour Jean Pierre et pour les deux autres « otages économiques au Qatar ».
Cher Monsieur, Il faut garder courage et que Jean-Pierre Marongiu ne baisse pas les bras même si c’est très dur pour lui. La réponse, aujourd’hui, ne peut être que politique et nous avons alerté les plus hautes autorités françaises sur la situation de Jean-Pierre Marongiu et d’autres de nos compatriotes qui vivent ce genre de situation inacceptable.
Cordialement,
Christophe FRASSA
Sénateur représentant les Français établis hors de France
M. Belounis au bord du drame
On lui avait promis récemment une libération assez rapide. Je l’avais eu au téléphone, il avait demandé dans un premier temps à Qatarinfos.net de ne pas trop parler de lui de crainte que cela bloque le processus car il croyait à la fin de ce calvaire. Depuis quelques jours il fait passer des messages de désespoirs car rien n’arrive et comme il vend ses meubles il risque de se retrouver à la rue.
Quand hier j’ai vu l’article de CNN je n’ai pas été surpris, il a des envies de suicide. Heureusement que sa femme et ses filles sont là car il aurait peut être déjà passé à l’acte.
Dire que l’ambassade de France au Qatar pense que tout cela c’est du « flanc ». N’arrivent-ils pas à imaginer que cette histoire risque pour certains de très mal se terminer. Quand on laisse « une affaire pourrir » pendant des années le drame insensiblement peut se produire à chaque instant sans que les raisons en soient évidentes.
Des politiques qui nous redonnent espoir
Heureusement qu’il ya quelques politiques comme le sénateur Leconte, la sénatrice Garriaud-Maylam, le Conseiller Francis Nizet et le sénateur Frassa pour nous réconcilier avec la politique. Il ne faudra pas être étonné si aux prochaines élections l’abstention et le vote pour les extrêmes progresse. Le manque de courage et la division de la classe politique française offre un spectacle désolant.