Doha’s Industrial Area attire de plus en plus de petits et moyens services alors que les infrastructures et le personnel qualifié ne sont pas au rendez vous. Ce n’est pas le seul endroit il y a un vrai danger d’asphyxie économique et social du Qatar.
Pour avoir du personnel qualifié il faut payer le salaire correspondant
Parmi les indicateurs qui passent à l’orange et qui menacent à court et moyen terme d’asphyxier économiquement et socialement le Qatar, le manque de personnel qualifié et sans doute un des ces indicateur clé.
Le manque de mécaniciens autos, de peintres, carrossiers et autres métiers de ce secteur est criant. Et pourtant se ne sont ni le travail ni les pièces de rechanges qui manquent. Les taux horaires pratiqués pour financer cet ensemble de services ne sont pas à la bonne hauteur et donc les garagistes n’ont pas les moyens d’embaucher du personnel qualifié. Evidemment la mauvaise qualité engendre des réclamations mais elles ne sont pas assez prises au sérieux par les garagistes. Le respect des droits des consommateurs n’est pas encore une donnée importante pour les dirigeants politiques du pays.
Pour essayer vos suspensions venez à Doha’s Industrial Area
C’est une boutade d’un jeune Jordanien qui travail sur ce lieu. Pourtant la zone industrielle de Doha est bien connue pour ses ateliers d’automobiles, magasins de pièces de rechange et autres. L’endroit attire de plus en plus de petits commerçants, entrepreneurs et industries telles que le béton préfabriqué, des briques, des ouvrages métalliques, menuiserie ainsi qu’une foule d’autres métiers et services.
En matière de restauration si vous pratiquez des prix pas très élevés et une bonne qualité de services il y a une telle demande que vous gagnez rapidement votre vie.
Alors que le potentiel est élevé, les résidents soulignent que la zone industrielle est encore dépourvue d’infrastructures et d’équipements publics. Beaucoup d’ axes routiers sont en mauvais état car à aucun moment on avait prévu un tel développement.
Trop obsédés par leur vision à long terme, à 2 030, les pouvoirs publics en oublient l’actualité du terrain. Il y a bien un plan prévu mais il met du temps pour arriver. Ca donne l’impression d’une belle pagaille car vouloir faire grandir l’économie vite et bien cela ne vas pas toujours ensemble. Entre expatriés on se parle et le Qatar ne devient pas forcément une destination enviable pour travailler. Nous aurons l’occasion d’en parler dans d’autres articles.