Les embouteillages à Doha finissent par énerver les conducteurs et conductrices. C’est bien la même histoire de partout dans le monde.
Condamnation d’une conductrice à cause d’énervements
La justice a condamnée une automobiliste de passage à Doha, à la suspension de son permis, à une amende de 5 000 QR soit 1 050 € et deux mois d’immobilisation du véhicule. Cette personne qui arrivait à vive allure a été obligé de freiner brutalement afin de stopper son véhicule qui arrivait dans un rond point, car il y avait un bouchon. Enervée, elle s’est mise à taper sur la voiture devant elle et a sorti le conducteur en l’insultant tant qu’elle pouvait indiquant qu’elle en avait marre de ces ronds points et de toute cette circulation. Les autres conducteurs et passagers ont essayé de la raisonner et malgré l’intervention de la police, celle-ci ne voulant pas se calmer fut conduite au poste de police et présentée au procureur. Ces accès de rage sont dus sans doute au fait qu’en moins de 7 ans la population à Doha a doublée, le nombre de voitures a explosé et que les infrastructures routières à certains moments de la journée ne suffisent plus.
Voila un événement de la daily life à Doha .