En 2022 la coupe du monde va se jouer au QATAR. Depuis plusieurs mois certains s’en servent pour faire avancer leurs revendications pour améliorer les conditions de travail des salariés expatriés. D’autres se frottent les mains en obtenant des contrats pour préparer les stades et les infrastructures pour la Coupe du Monde.
Rumeurs et soupçons
La bataille est d’habitude rude pour avoir le mondial de foot, le lobbying du Qatar a-t-il été trop loin ? Ce qui compte c’est le résultat dira t – on, or la FIFA s’est prononcée. La Fifa n’a pas souhaité commenter les accusations portées par France Football. Michel Platini, en revanche, évoque un tissu de « mensonges ». « Croire que mon choix se serait porté sur Qatar-2022 en échange d’arrangements entre l’Etat Français et le Qatar n’est donc que pure spéculation et n’engage que ceux qui écrivent ces mensonges, a assuré le Français dans un communiqué transmis à l’AFP. » Il y aussi des mauvais perdants dans cette affaire qui attisent les braises et qui poussent à revoter.
Faudra-t-il bouleverser les saisons ?
Le QATAR va investir prés de 160 milliards, ce qui représente 3 a 4 fois plus que d’habitude. Si le calendrier habituel est respecté le QATAR devra abaisser dans les stades la température de 45 ou 50 degrés à 20 ou 25, très difficile à faire dans des stades de plus de 50 000 spectateurs. Il reste la possibilité de modifier le calendrier est faire jouer le mondial en hiver ou les températures sont propices à ce sport. La solution sera trouvée, ce qui compte c’est l’élan que cela crée avec des centaines de milliers d’emplois sur plusieurs années. Cela devrait aussi accélérer une évolution de la société Qatarienne.
Notons toutefois que sur les 160 milliards plus des 3/4 sont destinés aux infrastructures. En outre les conditions de travail des expatriés sont à revoir.